Dans une langue vivante et imagée, Éric Larochelle raconte avec aplomb des histoires, parfois crues, qui font rire et pleurer. Il a un parler qui lui est propre, un peu terroir, mais proche de la vie. Les chansons se suivent et ne se ressemblent pas. On le suit dans ses aventures, guettant la mélodie mélancolique ou le sourire complice qui annonce l’ironie de son prochain texte. On ne compte plus les prix reçus depuis le début de sa carrière en 2003, le prix du public au concours national de la chanson francophone de Petite-Vallée, quatre mentions lors du Festival international de la chanson de Granby et le prix ROSEQ remis par Réseau Ontario en 2008.